Si vous trouvez la réponse à cette énigme avant vendredi prochain, vous gagnez un point bonus sur le prochain travail.
Laissez votre réponse en commentaire de ce poste avec votre prénom, la premier lettre de votre nom et votre classe (exemple: Pablo P. 6H).Tous les commentaires et la réponse seront publiés vendredi prochain. Quel artiste réalise ces sculptures architecturales avec du mobilier recyclé ?
Voici quelques maisons originales par leur dimension. Toutes sont de mini-maisons de moins de 15m2. Vous pouvez les utiliser dans le cadre de l'oeuvre de comparaison HDA. Un cabinet d’architecture suédois a conçu un logement pour étudiant compact et écologique : une maisonnette de 10 mètres carrés dans laquelle rentrent un couchage (en mezzanine), une kitchenette, une table et une douche. Posé sur un campus, ce studio dispose même d'une petite terrasse. L’ensemble est fabriqué en contreplaqué clair, avec du bois provenant de la région pour limiter l'empreinte carbone de la construction. Vingt-deux exemplaires ont déjà été construits et seront mis en location cette année, pour un loyer inférieur de moitié à ceux habituellement pratiqués (www.tengbom.se).
L’architecte Renzo Piano (à qui on doit Beaubourg) a créé cette habitation de 2,5 mètres sur 3, juste assez grande pour contenir un lit, une table, une cuisine et une douche. Réalisée en bois et recouverte d’aluminium, elle est autosuffisante, grâce à des panneaux solaires, un réservoir d’eau de pluie et des WC biologiques. Un habitat minimaliste dont l’architecte dit avoir toujours rêvé et qui ne l’empêche pas de réaliser par ailleurs de gigantesques bâtiments, comme la tour Shard à Londres, la plus haute d’Europe (www.rpbw.com).
La maison de l’île L’agence 2by4-architects a été créée à Rotterdam en 2005 par Remko Remijnse. Leur Island House (Breukelen, Pays-Bas, 2011-2112) est une petite maison de 21 m2 située sur une île étroite dans la région du Loosdrechtse Plas, non loin d’Utrecht. La volonté des architectes était d’offrir la possibilité de «personnaliser» les rapports des habitants avec l’environnement naturel. Deux des façades, l’une en verre et l’autre en bois sombre, s’ouvrent entièrement vers une terrasse extérieure en bois.
Le snow artist Simon Beck doit marcher en moyenne douze heures sur 35 kilomètres pour réaliser chacune de ses immenses œuvres, tracées dans la poudreuse par l’empreinte de ses propres pas. (source Courrier international)
Photographie. Les images primées au World Press Photo 2016
Le jury a attribué ses prix aux photojournalistes pour leurs clichés réalisés en 2015 : le premier au photographe australien Warren Richardson, qui a capturé le passage d’un bébé sous les barbelés entre la Hongrie et la Serbie. Aperçu des photographies récompensées, reflets d’un monde agité. (courrier international)
Serge Ponomarev, des migrants arrivent en grèce
Daniel Berehulak, après le tremblement de terre en Avril 2015 au Nepal
Roberto Schmidt, avalanche sur l'Evrest, 2015
Corentin Fohlen, manifestation du 11 janvier contre le terrorisme à Paris
David Guttenfelder, répétition d'un spectacle au jardin d'enfant en Corée du Nord
Tim Laman, un orang-outan grimpe à plus de 30 mêtres dans la jungle d'un parc national d’Indonésie.
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Qui sont les 4 membres du jury de l'édition 2016 du festival de court-métrages Ull-Nu ?
Cette semaine une séquence de dessin à partir de clip et de vidéos d'artistes, souvent autour des thématiques visible dans le travail de Bill Viola.
La première vidéo est un montage amateur d'extrait vidéo de Bill Viola sur une musique du groupe Muse.
Clip de la chanteuse Bjork réalisé par le cinéaste français Michel Gondry. Son univers visuel est toujours très inventif et original.
Clip du groupe Alt-j
Vidéo d'art experimental du canadien Norman Mc Laren. Un travail de peinture est réalisé directement sur la pellicule pour fabriquer ce film abstrait.
Extrait d'un concert du groupe Nine Ich Nails avec une mise en scène de Bill Viola.
Clip du groupe Fauve, réalisé par le collectif
Clip étrange du groupe Coco Rosie, avec de nombreuses surimpressions d'images, réalisé par Michael Basich.
Clip numérique de Massive Attack mettant en scène la vie intra-utérine.
Clip assez agressif mais tourné vers la vidéo expérimentale, par Chris Cunningham pour Aphex Twin.
Clip très Pop et manga réalisé par la star de l'Art contemporain Takashi Murakami pour Pharrel Williams.
Clip de Damon Albarn, réalsié en inographie 3D par l'artiste et designer Aitor Throup qui utilise des scan du crane du chanteur pour créer un portrait digital.
Clip d'Ibey avec de grandes accointances esthétiques avec le travail de Bill Viola.
Lady gaga puise de nombreuses idées visuelles pour ses clips et son look dans l'Art contemporain (la robe de viande de Jana Sterbak, les modifications faciales d'Orlan...). Avec son album Art Pop et le clip en forme de film qui va avec, nous trouvons encore de nombreux clins d'oeil.
La pochette de l'album est de Jeff Koons et la scénographie de Marina Abramovic.
Clip très riche visuellement de Floria Sigismondi pour Marilyn Manson
Très beau clip de Moby
Clip de Jain avec de nombreuses illusions optiques empruntées au monde de l'Art, notamment Escher
Rendez vous le 11 Mars pour les Portes Ouvertes de l'Esban avec au programme : visites des ateliers des étudiants, présentation des travaux réalisés durant les Workshops, présentation de travaux d'étudiants et inauguration de l'exposition réalisée à partir des Collections du FRAC Languedoc-Roussillon ! Le programme complet est ici.
Vous avez réalisé une première année en Ecole supérieure d'art ou au sein d'une formation artistique de niveau Licence 1 ou Licence 2 : Commission d’admission en 2ème année 15 Avril 2016
Bill Viola, artiste au programme du bac de l'épreuve facultative est rattaché à l'Art vidéo. Mais si il utilise toujours des images en mouvement, sa manière de la mettre en scène, de les PRÉSENTER au public, est toujours pensé pour renforcer le propos de la vidéo. En cela il s'inscrit vraiment dans une démarche plus artistique que cinématographique.
Heaven and earth, 1992, vidéo en boucle
L'oeuvre Heaven and earth est une installation de deux moniteurs sur une colonne. Visuellement on est très proche de quelque chose qui s'apparente à de la sculpture. Les deux écrans "nous montrent en parallèle un nourrisson de neuf mois (le deuxième enfant de Bill Viola) et la mère de l'artiste dans un lit d'hôpital, sous assistance respiratoire, en train d'agoniser. En réalité, la partie diffusée nous la montre au moment même où elle expire. Dans la version différente qu'il reprendra dans le Nantes Triptych (1992, Tate Gallery, Londres), l'œuvre, comprenant cette fois un personnage central en train de se noyer ou de ressortir de l'eau, était installée dans une chapelle du XVIIe siècle, soulignant par là que l'expérience de la mort est commune aux religions et aux sociétés. Quelles que soient ses connotations spirituelles ou matérialistes, la mort traverse tous les lieux et tous les temps. La réflexion de Bill Viola sur la temporalité s'accompagne d'une prise de conscience de la finitude humaine, dont nos existences quotidiennes comme les différentes religions auxquelles se réfère l'artiste peuvent témoigner." (http://www.universalis.fr/encyclopedie/bill-viola/2-la-question-de-la-temporalite/) On retrouve donc ici les questions de vie et de mort qui traversent tout le travail de l’artiste. Questions misent en jeu plastiquement de manière très forte car le dispositif permet aux deux images de se refléter l'une dans l'autre. Le dispositif est donc au service du propos.
On trouvera sur cette vidéo quelques images du dispositif.
Avec The veiling, nous sommes face à deux projections vidéo sur neuf voiles de tissus suspendus au plafond. L'image de l'homme et de la femme marchant l'un vers l'autre se mélange peu à peu jusqu'au milieu.
Cette oeuvre s'apparente plutôt à une installation.
The veiling, 1995
Dans l'oeuvre Catherine's room, Bill Viola propose un split screen, c'est à dire un écran multiple avec plusieurs actions simultanée. On retrouve l'idée des cycles, celui de la journée avec les actions quotidienne du personnage et la lumière mais aussi celui des saisons que l'on constate sur l'arbre de la fenêtre extérieur.
"Dans ce polyptique vidéo sur cinq écrans Bill Viola travaille en écho à La Vie de Ste-Catherine de Sienne d'Andrea di Bartolo Cini (1389 - 1428) qui peignit Ste-Catherine de Sienne et quatre soeurs dominicaines en cinq pannaeux sur un support de bois.
La référence à la Renaissance italienne : cinq panneaux horizontaux montrant pour chacun d'eux une femme dans sa chambre accomplissant ses activités habituelles, est patente. Mais si ces gestes sont représentés à différents moments de la journée (yoga, lecture, écriture, méditation sommeil), l'on voit se dérouler par la fenêtre un déroulement du temps tout à fait différent : le cycle des saisons. le temps se divise ou se multiplie en deux temporalités contigües." (http://rolandbussone.canalblog.com/archives/2014/05/01/29781727.html)
Catherine's room, 2001, 18mns, polyptique sur 5 écrans LCD
Avec the sleep of reason, Bill Viola construit une installation immersive qui se range dans la catégorie des environnements. L'espace est une chambre dans laquelle entre le spectateur. A tout moment le noir se fait avec une déferlante d'image et de son violents sur tous les murs de la pièce. Le spectateur, pris au piège, est au centre de ce dispositif qui provoque un certain malaise avec ses images oniriques.
