Frank Gehry, Musée Guggenheim de Bilbao, 1997 |
Pour le musée de Bilbao il tord et morcelle en figures géométriques ondulantes un volume évoquant un bateau.
Cet éclatement des lignes est rendu possible par l'utilisation de logiciels informatiques ultra-performants.
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Absalon, cellule numéro 3, 1992 |
L'artiste y reside d'ailleurs parfois durant l'exposition pour nous amener à nous questionner si ce minimum vitale suffit à l'existence humaine.
Enrique Oliveira, Transarquitetônica, 2014, sculpture in situ, Sao Polo |
Cet artiste brésilien construit ses sculpture directement sur le lieu de l'exposition (in situ), avec des matériaux recyclés trouvés aux alentours.
Ici cette sculpture organique évoquant un arbre est en fait un labyrinthe dans lequel on peut pénétrer. Le spectateur peut alors entrer à l'intérieur de la sculpture pour s'y promener.
Etienne-Martin, le manteau, 1962 |
Les vêtements d'Etienne-Martin, avec leurs structures en acier et leur multiples couches de tissus, sont tellement lourds que la personne qui les porte est immobilisé. Il devient alors lui même une partie de cette sculpture où le vêtement est vu comme la première couche de protection du corps, le premier espace intime et donc la première demeure.
Plus d'infos sur Frank Gehry ici
Les étapes de la construction de l'oeuvre d'Enrique Oliveira, avec une vidéo intéressante ici
Un article évoquant Absalon ici
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