Olivier Blanckart rejoue des images de l'histoire de l'Art, de la photographie ou de la culture populaire (pochettes de disques) avec du carton et du scotch marron. Il fait aussi des quasi-objets: des silhouette d'objet découpées dans du carton à échelle 1.
Olivier Blanckart, Shiva (d'après Warhol, triple Elvis), 1998 |
Olivier Blanckart, Quasi-objet |
(Jean-Marc Huitorel)
http://documentsdartistes.org/artistes/reno/repro.html
Dans l'installation Four Hands, BillViola nous montre sur un polyptique de 4 écrans LCD des gestes familiers issus de différentes cultures.
"On voit les mains de trois générations dans ce travail (un jeune garçon, le père, la mère et la grand-mère). Lentement et délibérément, on montre les quatre paires de mains formant une série de mouvements prédéterminés. Ceux-ci sont de sources aussi divers que le mudras Bouddhiste (gestes symboliques et rituels) et de l'anglais du XVIIe siècle, qui illustrent les gestes manuels qui accompagnent des états émotionnels. Viola explique que le travail est "une chronologie qui englobe tant les actions parallèles des individus dans le moment présent que les plus grands mouvements des étapes de la vie humaine." Il fait partie d'une série appelée les Passions, qui sont inspirées par de premières peintures européennes de dévotion et explorent des émotions humaines." (librement traduit de l'anglais, source https://www.nationalgalleries.org/collection/artists/bill-viola/19818/)
Ces travaux ont en commun un intérêt pour les geste et les objets du quotidien, une tentative de réenchantement du réel et une grande économie de moyen.
Dans l'installation Four Hands, BillViola nous montre sur un polyptique de 4 écrans LCD des gestes familiers issus de différentes cultures.
"On voit les mains de trois générations dans ce travail (un jeune garçon, le père, la mère et la grand-mère). Lentement et délibérément, on montre les quatre paires de mains formant une série de mouvements prédéterminés. Ceux-ci sont de sources aussi divers que le mudras Bouddhiste (gestes symboliques et rituels) et de l'anglais du XVIIe siècle, qui illustrent les gestes manuels qui accompagnent des états émotionnels. Viola explique que le travail est "une chronologie qui englobe tant les actions parallèles des individus dans le moment présent que les plus grands mouvements des étapes de la vie humaine." Il fait partie d'une série appelée les Passions, qui sont inspirées par de premières peintures européennes de dévotion et explorent des émotions humaines." (librement traduit de l'anglais, source https://www.nationalgalleries.org/collection/artists/bill-viola/19818/)
Bill Viola, Four hands, 2001, 4 petits écrans LCD, 23 minutes |
"Sleep est un film américain en noir et blanc réalisé par Andy Warhol de 1963 qui consiste en un montage de segments représentant le poète John Giorno dormant. Le film était initialement prévu pour durer huit heures1, soit la durée d'une nuit de sommeil normale, et donne l'illusion d'un plan séquence, alors qu'on peut voir à la projection que certains passages reviennent plusieurs fois. Le montage final dure cinq heures et 21 minutes (321 minutes) lorsque projeté à 16 images par seconde et 4 h 45 projeté à 18 images par seconde. Le film était une des premières expérimentations de Warhol dans la réalisation cinématographique, et a été créé comme un « anti-film ». Warhol étendra cette technique à son film suivant, Empire, d'une durée de 8 heures." (source: Wikipedia)
Dans ce film, qui se consacre sur une action simple du quotidien (le sommeil) le corps devient un paysage onirique, un peu comme dans les objets agrandis d'Oldenburg.
Extrait de 40 minutes ici
Andy Warhol, Sleep, 1963 |
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