"Upcycling, ou « en bon français » upcyclage ou recyclage, est un terme désignant l’action de récupérer des matériaux ou des produits dont on a plus l’usage afin de les revaloriser. On recycle donc « par le haut », en produisant des objets dont la qualité est supérieure au matériau d’origine. Le concept est apparu dans le milieu des années 1990 grâce à Reiner Pilz. Le terme a ensuite été repris par William McDonough et Michael Braungart dans leur ouvrage Cradle to Cradle : Remaking the way we make things paru en 2002." (Source Consoglob.com)
A la différence du recyclage, qui transforme la matière première (des bouteilles en plastiques pour faire des microfibres tissus), l'upcycling utilise le matériau ou l'objet brut. En Art ont peux l'approcher du ready-made ou de l'assemblage.
Sim Marek, Divinité X, sculpture coulée dans la raisine
Sim Marek, Ramusay, Assemblage d'objets
Rammellzee, exposition Gothic Futurism, Jeffrey Deitch, Los Angeles, (2022-2023), by Josh White, courtesy of the gallery. Rammellzee est un artiste pionnier du graffiti qui s'est rapidement tourné vers la peinture sur toile et la sculpture. Il à crée des assemblages et des costumes pour des performances, à partir d'objets de récupération
Mona Louison, Hybrid Henneguya, série Less is more Ces sculpture à porter sont réalisées à partir d'objet trouvé sur la plage, assemblés par du tissus, pour sensibiliser à la pollution des grandes industries. https://monaluison.com/sculptures-a-porter/
Le lycée Français d'Andorre participe à la GrandeLessive depuis plus de 10 ans.
Cette année, malgré la pluie, nous avons eu la joie d'être accompagné par le photoreporter Georges Bartoli (L'idependant, Midi-Libre, l'Humanité, Reuters...), neveu de peintre militant Josep Bartoli, qui à réalisé un magnifique reportage visible sur le site officiel.
Dans la famille de Théo, c’est l’effervescence avant la rentrée des classes. Théo embête sa petite sœur et son petit frère, tandis que sa grande sœur Ambre fait sa méditation avant de passer à table. Puis c'est le jour J. Théo arrive au collège. Il n'espère qu’une chose : échapper à ce professeur de bio au terrible surnom de Jack l’éventreur dont lui a parlé Ambre. Il retrouve son amie Lucie avec laquelle il est dans la même classe. Lucie lui présente Paul, son voisin, un accro de la photo, qui les rejoint aussi dans leur classe. Théo profite de l’occasion pour leur révéler un secret. En effet, il leur explique que le collège est bâti sur un ancien monastère dans lequel il se passait des choses terribles. Le père de Théo, journaliste, lui a donné des documents qui parlent d’une confrérie dont les membres étaient très cruels. Après les cours, les trois nouveaux amis décident de faire un tour d’exploration du collège. En attendant, ils vont découvrir leurs nouveaux professeurs. Théo leur parle du fameux professeur de bio au surnom de Jack l’éventreur, qui adore disséquer les animaux. Mais pour le moment, ils vont en cours de français dont la professeur est super. Théo la trouve d’ailleurs très jolie. Il sens que cette année, il va adorer le français…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le collectif d’auteurs composé de Mylène Lambert, Guillaume Pujol, Gyom et BenBk, présente les aventures de Théo, un jeune adolescent bien dans ses baskets, amuseur de classe et aventurier quand ça le chante. Cet ado va entraîner ses amis Lucie et Paul dans une enquête folle dans les bas fonds de leur collège. Dans une crypte ancienne, ils vont découvrir qu’il se passe des choses pas très cool. La narration est originale puisque Théo lui-même raconte son histoire au travers d’un journal intime ou plutôt d'un « codex » dans lequel il compile tout ce qui se passe. Par exemple, Théo et ses amis vont devoir affronter un professeur de biologie pas très honnête qui n’hésite pas à martyriser des élèves. Les auteurs soulèvent ainsi le tabou du harcèlement à l’école. Ici, ils montrent que l’élève harcelé peut compter sur ses amis. L’union faisant la force, ils sont plus forts ensemble pour affronter une telle épreuve. Les trois amis vont aussi découvrir une confrérie secrète dans le collège, un groupe mystérieux qui pourrait se révéler très dangereux. Au dessin, Gyom assure un trait fluide et dynamique, adapté au ton. Cette aventure jeunesse trépidante et bien construite est divertissante. Elle entraine le lecteur jusqu’au bout d'une enquête à rebondissements, dans laquelle Théo va pouvoir compter sur un allié inattendu..." (source planetbd)
Les auteurs:
Mylène Lambert écrit des livres pour enfants comme SOS vacances sans écran ou promenons nous sur le Canigou. Ici elle est scénariste, elle écrit l'histoire avec Romain Pujol, c'est sa première BD. C'est elle qui viendra nous rencontrer au LCF (Instagram @mylene_auteure)
Romain Pujol est créateur de BD. Il dessine la série les lapins crétins et écrit les histoires de la série Avni. (Blog https://www.romainpujol.com/)
Gyom réalise les dessin pour le codex de Théo. Il dessine aussi Freaky Mouse et le Grand Tournois. (page Facebook de l'artiste)
BenBK fait les couleur de l'album. Il travaille sur de nombreuses séries à succès comme Kid Paddle, Les nombrils, Tamara, Kaamelott, les p'tits diables... Son blog très bien fait livre tous les secret du travail de coloriste https://www.benbk.com/coloriste-bd-cest-quoi/
Guillaume Pellay, né en 1987 est diplômé de l’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne. Depuis 2010, il a participé à de nombreuses expositions en France et en Europe. expositions Parallèlement, Guillaume Pellay est co-fondateur et co-directeur des Éditions Peinture avec Mathieu Julien. Il est également membre du collectif de graffeurs Moderne Jazz. Il vit et travaille à Brest.
Guillaume Pellay est un artiste plasticien qui explore les possibilités de la peinture. Issue du graffiti, sa peinture garde un lien fort avec l'environnement dans laquelle elle est exposée, que ce soit sous forme d'installation en intérieur, de performance où l'œuvre est portée comme vêtement ou d'accrochage dans la rue et le paysage.
Peinture sur toile jouant en trompe l'oeil avec le paysage de la rue (la barrière te le trottoir sont peint sur la toile)
ASANS TITRE (bibliothèque des livres lus / non lus), dimensions variables, béton, roulettes, livres, 2012, co-réalisé avec Hélène Thomas
"Qu’il compile les motifs ornant les bordures des mouchoirs en papier en une édition « semi-précieuse » de gaufrages sur papier diffusés par voie postale, qu’il s’improvise repriseur de l’espace urbain en venant boucher les micro-trous qu’il rencontre sur les murs par de minuscules boulettes de papier froissé ; qu’il s’amuse de la littéralité picturale en peignant le mot « rien » d’une couleur presque imperceptible ; qu’il rejoue les marquages de noms et de dates que l’on trouve sur les parois des carrières de Tuffeau à l’arrière d’une cimaise qu’il a creusée pour y ouvrir comme un tunnel ; qu’il s’approprie une icône de la peinture moderne occidentale en la reproduisant à taille réelle au mur d’une dent creuse brestoise, son Guernica tout de spray gris vêtu comme un exercice de style traitant tout à la fois des questions de copie — au sens de l’apprentissage, de reproduction — au sens de la déperdition de qualité, et de diffusion de l’art — au sens où même, et en fait surtout, les chefs d’œuvre vivent dans la culture de masse ; Guillaume Pellay aime à se penser dilettante non-spécialiste." (texte d'Aude Launay - 2014)
Performance durant l'exposition Link In Bio 2017
Peinture bannière
« Trois fois rien » : une peinture blanche de trois fois « rien » sur un mur blanc
TUERIE, 349,3 cm (environ) x 766,6 cm (environ), peinture aérosol, 2010 La reproduction du Guernica de Picasso cache le mot "tuerie"
Automne, hiver, printemps, encre de chine, Trélazé, 2012
Graffitis sous le pseudo Torpen avec le crew Modern Jazz
